FESTIVAL
Lumière 2021
Grand Lyon Film Festival 202113e édition - 09 > 17 octobre 2021 - Lyon(France)
C’est un fait depuis que le festival existe : qui dit « Festival Lumière » dit « grands événements cinéphiles à déguster collectivement dans une très grande salle ». Les grandes séances ne sont donc pas du genre à se compter sur les doigts d’une main, et surtout pas pour cette année qui renoue avec les rendez-vous traditionnels du festival, organisés bien entendus dans des lieux emblématiques de la Ville Lumière.
D’abord les incontournables soirées d’ouverture et de clôture, qui célébreront respectivement le cinéma muet (projection du "Caméraman" de Buster Keaton en version restaurée et avec accompagnement musical de Vincent Delerm) et le Prix Lumière de cette année (projection de "La Leçon de piano" de Jane Campion en copie restaurée en clôture). Deux événements durant lesquels les principaux invités du festival seront présents pour célébrer notre art préféré, et nul doute que le contexte post-confinement amplifiera encore cette ferveur cinéphile. Les séances familiales refont aussi leur apparition à la Halle Tony Garnier via une projection de "Shrek" en présence d’Alain Chabat (voix française de l’ogre vert, faut-il le rappeler ?). Sans oublier la fameuse grande Nuit du festival, accordée cette année à la saga "Jurassic Park" et présentée par le réalisateur espagnol Juan Antonio Bayona (réalisateur du dernier épisode à ce jour, "Jurassic World : fallen kingdom". Sensations fortes garanties !
Pour le reste, du côté de l’Auditorium de Lyon, outre l’hommage à Bertrand Tavernier que l’on a déjà évoqué, un doublon de Ciné-concerts viendra s’ajouter au programme, l’un consacré au "Casanova" d’Alexandre Volkoff, l’autre à "La Grève" de Sergueï Eisenstein, à chaque fois accompagnés par l’orchestre national de Lyon. Ne manquent alors plus que les masterclass des invités les plus prestigieux de cette édition (Bulle Ogier, Juan Antonio Bayona, Edgar Morin, Paolo Sorrentino, Edouard Baer…) et la fameuse remise du Prix Lumière à la réalisatrice Jane Campion (une cérémonie qui sera suivie de la projection du très beau "Bright Star") pour fermer le bal d’une édition d’ores et déjà aussi riche que chargée de promesses.
Introduction rédigée par Guillaume Gas
Olivier Bachelard
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C’est un fait depuis que le festival existe : qui dit « Festival Lumière » dit « grands événements cinéphiles à déguster collectivement dans une très grande salle ». Les grandes séances ne sont donc pas du genre à se compter sur les doigts d’une main, et surtout pas pour cette année qui renoue avec les rendez-vous traditionnels du festival, organisés bien entendus dans des lieux emblématiques de la Ville Lumière.
D’abord les incontournables soirées d’ouverture et de clôture, qui célébreront respectivement le cinéma muet (projection du "Caméraman" de Buster Keaton en version restaurée et avec accompagnement musical de Vincent Delerm) et le Prix Lumière de cette année (projection de "La Leçon de piano" de Jane Campion en copie restaurée en clôture). Deux événements durant lesquels les principaux invités du festival seront présents pour célébrer notre art préféré, et nul doute que le contexte post-confinement amplifiera encore cette ferveur cinéphile. Les séances familiales refont aussi leur apparition à la Halle Tony Garnier via une projection de "Shrek" en présence d’Alain Chabat (voix française de l’ogre vert, faut-il le rappeler ?). Sans oublier la fameuse grande Nuit du festival, accordée cette année à la saga "Jurassic Park" et présentée par le réalisateur espagnol Juan Antonio Bayona (réalisateur du dernier épisode à ce jour, "Jurassic World : fallen kingdom". Sensations fortes garanties !
Pour le reste, du côté de l’Auditorium de Lyon, outre l’hommage à Bertrand Tavernier que l’on a déjà évoqué, un doublon de Ciné-concerts viendra s’ajouter au programme, l’un consacré au "Casanova" d’Alexandre Volkoff, l’autre à "La Grève" de Sergueï Eisenstein, à chaque fois accompagnés par l’orchestre national de Lyon. Ne manquent alors plus que les masterclass des invités les plus prestigieux de cette édition (Bulle Ogier, Juan Antonio Bayona, Edgar Morin, Paolo Sorrentino, Edouard Baer…) et la fameuse remise du Prix Lumière à la réalisatrice Jane Campion (une cérémonie qui sera suivie de la projection du très beau "Bright Star") pour fermer le bal d’une édition d’ores et déjà aussi riche que chargée de promesses.
Introduction rédigée par Guillaume Gas